Azelle (aka Azel de son nom d’artiste) obtient en 2016 son Master d’Arts de l’image et du vivant à La Sorbonne Paris 1 - Centre Saint Charles. À la sortie de ses études elle monte un collectif artistique, le collectif X, qui a pour but de réunir des artistes travaillant autour de ce qu’elle appelle «l’art déviant». Elle le définit comme un art qui sort des sentiers battus, que ce soit dans les sujets traités ou le médiums utilisés. Un art qui permet aux artistes de s’exprimer sans censure sur leurs visions de la vie ou de la société.
Un art qu’elle même aborde dans ses productions.
Azel questionne, transgresse, dénonce et offre au public une deuxième lecture des choses.
Elle passe pour cela par une variété de médiums et de supports dans lesquels, toujours, la question de la femme reste en suspens.
Ses travaux sont remplis de symbolismes, mélangeant culture moderne et culture classique, créant ainsi des oeuvres où la temporalité devient multiple.
Très fortement inspirée par l’esthétisme de la Renaissance, les oeuvres de l’artiste se parent de feuilles d’or, d’auréoles, de postures extatiques et nous projettent dans un monde où le sacré et le profane ne font plus qu’un.